Prêtres décédés ou enterrés à Lourdes
(1990 - 2022)
283. Henri-Joseph BONSI *
Né 17.11.1896 à Argelès-Gazost ; Ancien curé à Julos ; Décédé 10.04.1990 à Lourdes.
284. André FRESCHARD (ou FRESCHAND) *
Né 20.01.1920 à Jœuf (54) ; Décédé à Lourdes (à Cité Saint Pierre) 30.08.1990; Les obsèques ont été célébrées 04.09.1990 à Lourdes.
285. Charles-Constant-Paul HAURET (Monseigneur) *
Né 14.04.1907 à Talmont-Saint-Hilaire (85) ; Prélat d’Honneur ; Décédé 03.01.1991 à Lourdes. Inhumé au cimetière de l’Égalité de Lourdes dans le caveau des prêtres.
IN MEMORIAM MONSEIGNEUR CHARLES HAURET (1907-1991)
Professeur et Doyen honoraires de la faculté de Théologie Catholique de Strasbourg, Mgr.Ch. Hauret est décédé à Lourdes le 3 janvier 1991. Il était Officier des Palmes Académiques, chevalier de la Légion d'Honneur et de l'Ordre du Mérite, chanoine honoraire de Luçon et de Strasbourg, Prélat de sa Sainteté.
Né le 13 avril 1907 à Talmont (Vendée), il fait ses études au Petit Séminaire de Chavagne en Paillers, puis au Grand Séminaire de Luçon. Il est ordonné prêtre le 29 octobre 1932. Conscients de ses riches capacités humaines et intellectuelles, ses Supérieurs l'envoient à Rome poursuivre ses études à l'Institut Biblique Pontifical où il obtient le grade de licencié-ès-Sciences Bibliques, et à l'Université Grégorienne où il soutiendra une thèse en théologie sur le sujet suivant : « Comment le 'défenseur de Nicée' a-t-il compris le dogme de Nicée ? ». Ce travail sera publié à Bruges aux éditions Beyaert en 1936. De retour à Luçon, le voici nommé immédiatement professeur au Grand Séminaire, où il restera de 1936 à 1953, ministère interrompu d'une part par la guerre de 1939-1940, qu'il fit dans le service de santé comme sous-lieutenant d'administration, d'autre part par une mission internationale de secours aux déportés qu'il remplit, à titre de responsable, au camp de concentration de Bergen-Belsen du 3 mai au 15 septembre 1945.
En 1953, M. Hauret est nommé chargé d'enseignement à notre Faculté, où il restera jusqu'à sa retraite en 1972. Devenant successivement maître de conférences titulaire (1957), professeur titulaire personnel, il occupera, à partir de 1968, la chaire de Sciences Bibliques Ancien Testament. Sa thèse de doctorat d'Etat en Théologie Catholique qu'il soutient en 1957 devant un jury composé de MM. Schmitt, président, Plagnieux et Vogel, portait sur « Le sacerdoce en Israël ». Vaste sujet qui appelait des approfondissements sur un certain nombre de points. C'est sans doute pour cette raison qu'il en différera la publication. Finalement, il en tirera quelques articles, tel « Aux origines du sacerdoce Danite » dans les Mélanges A. Robert. La grande époque de son séjour à Strasbourg coïncida avec son décanat (1965-1970). Il était donc « aux commandes » lors de la crise de 1968 qui lui réserva, comme à tant d'autres responsables de cette période, quelques soucis, voire quelques déboires. Il en parlait volontiers, mais sans amertume ni acrimonie. Les quelques notes autobiographiques qu'il a laissées peu avant sa mort, témoignent clairement de la place que ces événements ont tenue dans sa vie. S 'efforçant de garder le contact avec les uns et avec les autres, il se voulait trait d'union non seulement à l'intérieur de la Faculté mais aussi à l'intérieur de l'Université.
Lors de son départ à la retraite en 1972, le Conseil d'administration de la Faculté du 24 mai 1972 lui rendit hommage en ces termes : « Au moment où M. le Doyen Hauret s'apprête à quitter notre Faculté, le Directeur et le Conseil de gestion unanime lui expriment leur vive gratitude et leurs vœux respectueux. Pendant près de vingt ans, M. Hauret a enseigné avec compétence et dévouement l'exégèse de l'Ancien Testament. De 1965 à 1970, il a rempli la charge de doyen, œuvrant inlassablement à travers des circonstances parfois difficiles pour le rayonnement de la Faculté. Le Conseil souhaite au Doyen honoraire de la Faculté une retraite paisible et féconde ». Pendant cette charge décanale, de nombreux scholasticats religieux vinrent s'installer à Strasbourg, grossissant de façon sensible le nombre des étudiants. Nul doute que les Qualités relationnelles du doyen d'alors favorisèrent ces rapprochements. On le savait aussi soucieux d'étoffer le corps des enseignants et il obtint du Ministère la création de plusieurs postes d'assistants. Sa nomination comme doyen honoraire, qu'il apprécia particulièrement, lui valait comme témoignage de reconnaissance à son égard.
M. C. Hauret était homme d'enseignement et d'administration plus que de recherche érudite. Ses étudiants ont conservé le souvenir de cours particulièrement vivants. De son premier ministère au Grand Séminaire de Luçon, il garda le souci d'une initiation de qualité à l'étude de la Bible. Il s'orienta d'abord vers le Nouveau Testament en publiant Les adieux du Seigneur (S. Jean XIII-XVII), Paris, 1951. Il fut un des premiers en France à percevoir l'explosion du mouvement biblique qui suivit la guerre de 1939-1945. L'encyclique de Pie XII, en 1943, avait libéré l'exégèse catholique jusque-là frileuse ou placée sous haute surveillance. Son ouvrage, Les Origines. Gen I-III (1951) bénéficia d'un succès considérable en France mais aussi à l'étranger. Il fut traduit en anglais, espagnol et italien. Il ouvrait au grand public les portes d'une lecture renouvelée de ces premiers chapitres de la Bible, alors que l'interprétation traditionnelle faisait tant de difficulté à l'esprit moderne. Suivent alors plusieurs livres de qualité. Ses talents d'écrivain favorisèrent une diffusion internationale, qu'il s'agisse de L'initiation à l'Ecriture Sainte (1966, traduit en espagnol et en italien) de Notre Psautier (1964, traduit en anglais), ou d'Amos et Osie (1970). Cette œuvre pour grand public se voulait fondée sur une documentation critique solide. Ainsi son ouvrage sur les Psaumes fut préparé par une série d'articles remarqués, publiés dans notre Revue des Sciences Religieuses, 1959, p. 321-342 et 1960 p. 1-34 : « L’interprétation des Psaumes selon l'école 'Myth and Ritual' », alors passablement ignorée de l'exégèse française. Toujours soucieux à 'un enseignement aussi large mais aussi solide que possible, il donnera une communication « Les Psaumes. Études récentes. État de la question », dans le cadre des Journées d'études bibliques organisées par les évêques de la région Est à Strasbourg en 1965. Les travaux en ont été publiés sous le titre Où en sont les études bibliques ? Paris, 1968.
Esprit ouvert, il avait perçu la nécessité de bien connaître le milieu Proche-oriental qui Constituait l'environnement de la Bible. Aussi entreprit-il des études d'assyro- babylonien qu'il enseigna à la Faculté des Lettres de Strasbourg, de 1954 à 1974 donc même après son départ à la retraite. La présidence des XIV-es Journées bibliques de Louvain manifestait la reconnaissance de sa compétence scientifique. Il y donna une communication sur « Les ennemis-sorciers dans les supplications individuelles » et en édita les travaux dans Aux grands carrefours de la Révélation et de l'exégèse de l'Ancien Testament publiés à Paris en 1967.
A sa retraite, il resta quelques années à Strasbourg. Mais la mort brutale de sa gouvernante brisa les liens qui le retenaient en Alsace. Il rechercha un environnement familial et repartit dans sa Vendée natale, à Jard-sur-Mer. Il ressentit très vite la solitude. Dès 1982, il quitta cette jolie station balnéaire, très vivante l'été mais assoupie l'hiver, pour n'y revenir qu'aux vacances. Il gagna à Lourdes la résidence St. Thomas d'Aquin, près du sanctuaire de Notre-Dame envers laquelle il avait une dévotion particulière. Bien entouré, il y vécut des jours heureux et paisibles, jusqu'à ce jour d'août 1990 où il fut victime d'une chute. Son état empira et on le crut à la dernière extrémité. Mais il domina provisoirement la crise. Ce n'était qu'un répit.
Le 3 janvier 1991, il s'éteignait dans la paix, tout abandonné à Dieu. Il laisse le souvenir d'un homme dévoué, affable, de qualités relationnelles incontestables, d'un croyant à la foi vivante, d'un prêtre attentif aux évolutions du monde, parfois inquiet de ce qu'il percevait comme certaines dérives, mais malgré tout confiant dans l'avenir qu'il croyait entre les mains de Dieu.
(Bernard Renaud : Monseigneur Charles Hauret (1907-1991). In Revue des Sciences Religieuses, tome 65, fascicule 3, 1991.pp. 153-156.)
286. Michel-Jacques-Georges PORTEVIN *
Né 06.11.1923 à Blois (41) ; Chanoine honoraire et curé « in solidum » du Secteur de Tarbes- Banlieue ; Décédé 05.03.1991 à Toulouse. Les obsèques ont été célébrées 05.03.1991 à Lourdes. Inhumé au cimetière de l’Égalité de Lourdes dans le caveau des prêtres.
287. Joseph POTOUS *
Né 08.04.1907 à Toulouse ; Ancien curé à Castelvieilh ; Décédé 28.03.1991 à Lourdes. Les obsèques ont été célébrées 30.03.1991 à Lourdes.
288. Henri PÉRÉ *
Né 22.06.1908 à Tournay ; Chanoine honoraire et ancien aumônier de l’Hôpital de Tarbes ; Décédé 01.09.1991 à Lourdes.
289. René-Joseph-Émile PRUEDE *
Né 20.03.1916 à Gez-ez-Angles ; Décédé 11.11.1991 à Tarbes ; Les obsèques ont été célébrées 13.11.1991 à Lourdes. Inhumé au cimetière de l’Égalité de Lourdes dans le caveau des prêtres.
290. Pierre CALVO
Né 25.11.1923 à Lourdes ; Ordonné 1948 à Montauban ; Vicaire à Guchen ; Curé à Libaros 1962 – 1991 ; Décédé 17.11.1991 à Libaros. Inhumé dans le cimetière de l’Égalité Lourdes dans le caveau de la famille.
« Le lundi 18 novembre 1991, on retrouvait mort dans son presbytère de Libaros l’abbé Pierre Calvo. Cette brutale disparition avait choqué le village et les environs car l’abbé Calvo était une figure. Curé de Libaros, il était doté d’une forte personnalité et d’une vive intelligence. Ses connaissances en pharmacie lui permettaient de donner de bons conseils. Ses prises de paroles très directes à l’église, sa voix grave, sa cigarette, son allure, sa 2CV faisaient de l’abbé un curé de campagne bien singulier que l’on craignait parfois mais que l’on appréciait voire admirait en raison d’une existence toute donnée à Dieu et aux autres. Il célébrait la messe dos aux fidèles. Il était humble et savait vivre d’une manière modeste. Les registres paroissiaux laissent deviner un personnage attaché à la vie des gens : c’est avec une calligraphie de toute beauté qu’il notait les baptêmes, mariages, obsèques. Sa vie avait été marquée par un accident. Né à Lourdes le 25 novembre 1923, il fut d’abord prêtre dans le diocèse de Carcassonne. Ordonné à Montauban en 1948, il fut nommé vicaire d’une paroisse de Narbonne la même année puis prêtre à Villar St Anselme, près de Limoux, en 1950. Un long congé se solde alors par son retour chez nous et, en 1956 il est nommé curé à Guchen. En 1962, il arrive à Libaros où il restera jusqu’à son décès témoignant ainsi d’une grande fidélité à ses paroissiens. Chargé en plus de la paroisse de Lahitte et de celle de Sentous, il sera aussi responsable de Montastruc puis de Puydarrieux et Lapène. En 1970, il sera incardiné au diocèse de Tarbes et Lourdes. Pierre Calvo a laissé un grand vide. Ces funérailles furent très suivies et l’évêque de l’époque, Mgr Sahuquet, avait effectué le déplacement. Robert Sabathier, maire, lui avait rendu un hommage. Il repose désormais au cimetière de l’Égalité à Lourdes dans la sépulture de sa famille. »
(La photo et l’article L’abbé Calvo va faire l’objet d’un ouvrage apparus dans LE PETIT JOURNAL le 30.04.2019)
291. Dominique-Jean-Marie-Donatien RAMOND A.A. *
Né 06.08.1904 à Préchac ; Ordonné 31.05.1931 ; Ancien responsable du Bureau de Presse des Sanctuaires de Lourdes ; Décédé 28.03.1992 à la Résidence Saint-Thomas d’Aquin Lourdes. Le corps du P. Jean Ramond est inhumé dans son village natal, à Préchac.
« Religieux de la Province de France. Dans l’apostolat des sanctuaires et pèlerinages. Baptisé Dominique Donatien Jean-Marie, Jean Ramond est né le 6 août 1904 à Préchac (Hautes- Pyrénées). Après ses études primaires dans son village natal, il quitte le versant français des Pyrénées pour se rendre en 1916, à l’âge de 12 ans, à Elorrio au Pays basque espagnol. Il y effectue ses études de grammaire de 1916 à 1919 avant de se rendre à Vinovo (Italie) pour ses études d’humanités (1919-1921). Au terme de ses études, il entre au noviciat le 4 novembre 1921 à Saint-Gérard en Belgique où il prononce ses premiers vœux une année plus tard, le 5 novembre 1922, sous le nom de Frère Marie-Bertrand. Après deux années de philosophie à Saint-Gérard (1922-1924), deux années de service militaire à Toulouse (Haute- Garonne), de 1925 à 1927, il commence ses quatre années de théologie à Louvain en Belgique (1927- 1931) où il fait sa profession perpétuelle le 23 octobre 1928 et où il est ordonné prêtre le 31 mai 1931. À la rentrée de septembre 1931, il est nommé professeur de 6ème au collège Saint-Caprais à Agen (Lot-et-Garonne) où il va rester 16 ans, jusqu’en 1947. En septembre 1947, il est nommé supérieur de l’orphelinat toulousain de la Grande Allée, que les Assomptionnistes dirigent depuis 1924. Il y reste 6 années, de 1947 à 1953, se consacrant entièrement à sa fonction et en œuvrant pour la rénovation de l’institution. C’est ainsi qu’il obtient des autorités de tutelle la transformation de l’établissement en deux sections, l’une demeurant au service des orphelins et des cas sociaux, l’autre s’ouvrant aux enfants en difficultés scolaires et présentant des troubles caractériels. En 1953, les supérieurs lui confient la direction de l’Association Notre-Dame de Salut, charge qu’il assume jusqu’en 1958, date à laquelle le P. René Le Boullec lui succède. Il reste à la communauté de la rue François ler à Paris pour animer le Centre de Documentation des Pèlerinages qu’il a créé à la suite d’une circulaire adressée de Rome aux évêques du monde entier, à l’occasion de l’année mariale de 1954, demandant de faire connaître les sanctuaires à la Vierge. Loin de borner sa recherche aux seuls sanctuaires de la Vierge, U l’étend à tous les sanctuaires, d’où le titre plus général qu’il donne à son Centre: Centre de documentation des sanctuaires et pèlerinages. Pour faire connaître ces sanctuaires, ü lance la publication, Sanctuaires et Pèlerinages, qui paraît de mai 1955 à 1965 (1). En 1969, à cause de ses difficultés pulmonaires, le P. Marie-Bertrand qui va reprendre son prénom de Jean vient se soigner dans son pays natal. Il rend divers services à ses confrères jusqu’à ce que, en 1971, Mgr Donze, évêque de Tarbes et Lourdes, vienne le solliciter pour animer le Bureau de Presse du sanctuaire, créé à la demande des journalistes. Lors de l’inauguration de ce bureau, le 4 août 1971, Mgr Donze le présente ainsi: « Il fallait trouver un responsable qui prendrait en charge un tel centre. C’est alors que la Providence et la Vierge nous sont venues en aide et nous ont fait trouver le P. Jean Ramond. Il était préparé à cette tâche par son attachement à Lourdes où il accompagna tant de pèlerinages ». Le P. Jean exerce cette tâche avec fierté, toujours disponible pour les nombreux journalistes qui viennent en reportage à Lourdes. En 1986, il reçoit la médaille vermeil de la ville de Lourdes. « C’est le signe de reconnaissance que la ville de Lourdes offre au Père, pour les services qu’il a rendus d’une manière si efficace et si constante, pour les excellentes relations aussi qu’il a su établir entre la ville et les sanctuaires, assurant entre eux un lien solide et amical » écrit le journal de la Grotte. En 1987, il accepte, avec l’accord des supérieurs, de se retirer à la Maison Saint-Thomas d’Aquin où, grâce à la bienveillance du diocèse, il vit jusqu’à sa mort le 28 mars 1992. Le corps du P. Jean Ramond est inhumé dans son village natal, à Préchac. De 1955 à 1965, la revue publie 39 numéros. La collection comporte aussi une carte des principaux sanctuaires de Notre-Dame publiée en 1954, un numéro-double (40-41) comprenant les tables de la revue et édité en 1968. »
(Article trouvé sur le site www.assomption.org/en/biographie/marie-bertrand-jean-ramond-1904-1992/)
292. Jean-Marie SAINT-VOIRIN *
Né 30-07.1934 à Besançon (25) ; Décédé 10.06.1992 à Pau ; Les obsèques ont été célébrées 12.06.1992 à Lourdes. Inhumé dans le caveau de la famille au cimetière de Langelle à Lourdes 12.06.1992.
293. Jean-Marie-Joseph DOUSTALET *
Né 06.07.1911 à Barlest ; Ancien curé à Lézignan ; Décédé 18.06.1992 à Lourdes.
294. Jean-Baptiste-Pierre-Emile LAFFON *
Né 25.02.1903 à Saint-Créac Antalos ; Chanoine titulaire et Doyen du Chapitre ; Historien, doyen du chapitre cathédral de Tarbes et Vice-président de la Société Académique des Hautes-Pyrénées ; Co-auteur, avec J. -F. Soulet, du livre Histoire de Tarbes. Il a coordonné aussi deux autres livres d’histoire : Histoire du Diocèse de Tarbes et Lourdes et Histoire d’une paroisse de Tarbes : Saint Jean. Décédé 23.09.1992 à Lourdes.
295. Jean-Victor-Joseph MÉRICQ *
Né 02.07.1907 à Barlest ; Ancien curé à Pierrefitte ; Décédé 02.11.1992 à Lourdes. Les obsèques ont été célébrées 05.11.1992 à Lourdes et a été inhumé dans le cimetière de Langelle Lourdes.
296. Gaston PEYRABÈRE *
Né 13.02.1921 à Sère-Argelès ; Ancien curé à Bénac ; Décédé 13.01.1993 à la Résidence Saint Thomas d’Aquin, Lourdes. Les obsèques ont été célébrées 15.01.1993 à Lourdes.
297. Vincent KENG *